Montagne. Fantôme de signe. Corps présent dont je perçois la transparence. Cette immatérialité des pierres, parfois, sous certaine lumière. Suis déchirée entre le désir d’aller et celui de rester à distance. Pour voir.
Arriver au bout de la forme.
Barbarie de mon enfance ? Non. Plus loin, lieux de lutte et de recueillement.
Je m’enfonce, m’éloigne, me semble-t-il sur un chemin qui tout à coup paraît être le mien, et je reconnais ces lieux du dedans.
Montagnes corps. Corps montagnes. Reliefs, chaos, ossatures, cadavres de la terre, sans doute, où il y eut un peu de chair. Parfois sanglots au bout du pinceau.
Empreintes. Travailler vite, très vite. Ne pas penser tableau.
Arriver au bout de la forme.
Barbarie de mon enfance ? Non. Plus loin, lieux de lutte et de recueillement.
Je m’enfonce, m’éloigne, me semble-t-il sur un chemin qui tout à coup paraît être le mien, et je reconnais ces lieux du dedans.
Montagnes corps. Corps montagnes. Reliefs, chaos, ossatures, cadavres de la terre, sans doute, où il y eut un peu de chair. Parfois sanglots au bout du pinceau.
Empreintes. Travailler vite, très vite. Ne pas penser tableau.
(acrylique 100x100)
2 commentaires:
On dirait du fauvisme!
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